Yanick Burgund

Tombé dans un bain de révélateur dès son plus jeune âge, il développe une attirance additive pour la technique photographique.

Passant du grain aux pixels il compose ses images dans les limites du spectre lumineux.

C’est du fond de son laboratoire qu’il opère une alchimie photographique en faisant apparaître des corps et des visages couchés sur des plaques recouvertes de sels d’argent, selon un procédé ancien de 1851 « le collodion humide ».

Plus à l’aise en expression graphique, les croquis, dessins graphites et numériques font aussi parties de son univers.